Objet : Lettre ouverte en réaction à la publication du camp de l’honorable Guy Loando Mboyo
Honorables collègues, chers compatriotes
Par la présente, je tiens à réagir fermement, mais avec responsabilité, face à la publication récemment émise par des membres du camp de l’honorable Guy Loando Mboyo. Celle-ci, truffée d’accusations non fondées, de menaces à peine voilées et de comparaisons méprisantes, vise manifestement à ternir l’image de l’honorable sénateur, député provincial, député national et rapporteur adjoint du Sénat : Jean Claude Baende ETAF’ELIKO.
Un tel ton de défi, mêlé d’arrogance politique et de clivages stériles, ne reflète ni la maturité républicaine attendue d’hommes d’État, ni le respect dû aux institutions. Ce genre de communication toxique trahit un profond malaise politique et un déficit de reconnaissance populaire.
En revanche, Jean Claude Baende ETAF’ELIKO, élu de la ville de Mbandaka, est une figure emblématique du leadership enraciné. Son parcours est exceptionnel : gouverneur de l’espace Grand Équateur, député provincial, député national, sénateur et membre du bureau du Sénat. Il est l’incarnation même de la constance et du service à la nation.
Ses actions récentes à Mbandaka parlent d’elles-mêmes :
Un corbillard et une maison de pompe funèbre gratuite,
Des bus de transport collectif et des motos gratuites,
Une voiture de luxe
mise à disposition de la population pour leurs cérémonies.
Des forages gratuits
Voilà ce qu’est un leadership transformationnel discret, efficace, humain.
Face à cela, il est regrettable de constater que certains cherchent à exister par des attaques dénuées de fondement, plutôt que par des réalisations concrètes.
J’en appelle à la retenue, au respect du débat démocratique et à la reconnaissance des mérites de chacun. L’honorable Jean Claude Baende ETAF’ELIKO mérite respect et considération, non seulement pour sa stature institutionnelle, mais aussi pour son engagement constant au service du peuple équatorien.
L’histoire retiendra ceux qui auront construit en silence, et non ceux qui auront crié plus fort.
Veuillez agréer, chers compatriotes, l’expression de mes sentiments les plus respectueux.
Fait à Kinshasa, le 28 juillet 2025