C’est avec consternation et vive émotion que j’apprends, en cette journée dominicale, la disparition inattendue de votre très chère et tendre épouse, madame FIFI TEKA, FINA comme j’aimais bien l’appeler. Connaissant votre amour et attachement envers elle, je ne sais comment quantifier les proportions des souffrances qui sont les vôtres en ce moment.
Votre chérie (amour) d’enfance est partie, je sais que vous êtes inconsolable en cet instant mon frère ! Seul Dieu, Tout Puissant, reste votre consolateur maintenant. Une chose reste certaine, la mort ne saura jamais occulter votre amour envers FIFI. ADIEU FIFI TEKA.
La rédaction du groupe de presse LE COLLECTEUR vous présente ses condoléances les plus émues.